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Nous avions passé la soirée à jouer ce scénario si délicieux ou je me retrouvais marchant en m’appuyant sur mes béquilles, les pieds chaussés d’escarpins aux talons démesurés, et jouant la femme handicapée. C’était un scénario très spécial, pervers, mais qui était devenu naturel dans notre couple. Etrange, direz-vous. Oui en effet !  Il nous excitait particulièrement et je finissais au cours de ces soirées à réellement ressentir une forme de handicap qui m’excitait beaucoup. J’étais sa patiente handicapée,  il était mon docteur, il me soignait, s’occupait et caressait tout mon corps tout en m’imposant des talons extrêmes qui m’obligeaient a utiliser des cannes rien que pour tenir debout et me déplacer. Que de chemin parcouru pour en arriver à cela …

 

Mais commençons par le début.

 

Depuis l’âge de 15 ans j’aime porter des talons. Au tout début comme beaucoup de jeunes filles je glissais en cachette mes pieds dans les escarpins de ma mère. Elle s’en aperçu, mais plutôt que de me gronder ou me l’interdire, c’est elle-même qui m’y encouragea, tout d’abord à la maison en m’apprenant à marcher avec ses talons puis ensuite avec les miens. L’achat de mes premiers escarpins fut pour moi un évènement. Un mercredi après midi alors que nous étions à flâner dans une galerie marchande, je découvrais dans la vitrine de San Marina une paire d’escarpins de cuir noirs, très classiques, très échancrés, intemporels aux talons fins de 10 cm. Je regardais ma mère et la suppliais du regard.

-‘’ Il me les faut, ils sont beaux, j’adore !’’

 Comprenant mon désir nous entrâmes dans la boutique. C’était la première fois que j’allais acheter de vrais escarpins de femme, une vraie  paire de ‘’talons’’ à moi. Quelle fierté de montrer à la vendeuse les chaussures que je voulais essayer ! Puis ce fut le moment de les enfiler devant les clientes alors que je n’avais que 16 ans. Je glissais mes pieds dedans avec délice. La cambrure était sérieuse mais parfaite, le cuir était assez échancré et une fois enfilé l’escarpins laissait encore apparaitre la base de mes petits orteils, c’était pour moi le top ! Je savourais l’instant et le faisais durer, regardant mes pieds avant de me lever. Mes nombreux entrainements à la maison me furent bien utiles ce jour là et c’est avec une certaine assurance que je faisais mes premiers pas sur la moquette de la boutique les pieds cambrés dans ces escarpins, ma démarche et mon petit 37 étaient magnifiques. J’eu même droit aux félicitations de la vendeuse quant à mon aisance à marcher !  Après cet épisode mémorable, je me mis à sortir en talons et je prenais plaisir à passer, des knickers à la mode aux escarpins à talons hauts. Je complétais ma collection par des sandales à brides pour l’été et une paire de bottine pour l’hiver, plus d’autres paires d’escarpins. Peu de mes copines portaient des talons mais beaucoup m’enviaient sans passer à l’acte et j’avais une bonne image au lycée ! J’étais trop jeune pour chercher une explication et ressentais les choses comme elles venaient. Lorsque je mettais mon jean bien moulant, tombant droit sur mes escarpins, un étrange plaisir me remplissait, comme un étrange mélange de sentiments contradictoires. Je me sentais sur mes talons plus femme, plus forte, et en même temps plus fragile, plus féminine et je transformais ainsi la contrainte des talons hauts en douce impression de chaleur et de plaisir intérieur.

 

Lorsque je rencontrais mon compagnon d’aujourd’hui, je marchais quotidiennement depuis 10 ans, avec 8 à 10 cm de talons. Il me dit dès le premier jour qu’il appréciait beaucoup cette tenue, mes chaussures et ma démarche. Mais assez rapidement il me fit comprendre qu’il apprécierait des talons nettement plus hauts. Son discours était clair et très sur. Son autorité naturel et son charisme laissaient peu de place à la discussion, et je me surprenais à adorer cela ! 

-‘’J’aime te voir en talons, tu es très élégante ça me plait beaucoup, tu le sais, mais ce que je souhaite c’est que tu portes des talons plus hauts, encore plus hauts.’’

-‘’Ce n’est pas facile, je vais avoir du mal à porter si haut tous les jours,  mais je veux bien essayer pour toi.’’

 

J’abandonnais dans mon placard mes 8 cm et commençais à porter 10 cm au quotidien. Ces deux petits centimètres ne sont pas neutres et  celles qui portent des talons le savent bien ! Pour acheter des escarpins ou des bottes avec des talons de plus de 10 cm, nous ne trouvions pas notre bonheur en ville ou le choix était vite limité et c’est sur des sites spécialisés que mon ami m’entraina. Les moments de recherche sur l’ordinateur étaient pour nous très excitants. Installés sur le canapé ou dans le lit, le PC portable sur les genoux nous profitions encore de ce moment pour s’exciter mutuellement. Nos corps au plus proche, collés l’un à l’autre, main baladeuse sous les draps je retrouvais souvent son sexe dur et chaud alors que mon autre main caressait mon clitoris doucement. Nous nous amusions à tenter de rester de marbre mais les photos et descriptions des modèles étaient souvent impressionnantes et excitantes : Les chevilles des modèles étaient magnifiques, cambrées au maximum les chaussures parfaitement mises en valeur. Pour les plus hautes chaussures réservées à nos jeux coquins, les descriptions et hauteurs de talons indiquaient 12, 13 14 cm et mon cœur battait fort en regardant l’écran au moment de passer commande, j’appréhendais avec délice le jour de la livraison ! Le colis arrivait rapidement à la maison, les essayages étaient toujours de grands moments de plaisir et perversion. C’est bien sur lui-même qui me mettait les chaussures pour ensuite m’aider à me lever et à marcher. Les escarpins, les bottines ou les mules livrées prenaient de la hauteur au même rythme que mon pied apprenait à se cambrer. Les talons devenaient irraisonnables et malgré ma volonté et mes efforts, les béquilles et autres cannes apparurent pour m’aider à tenir. Je découvrais avec surprise mon trouble à utiliser  ces objets et à ces appareils médicaux et ils intégrèrent les accessoires indispensables à nos ‘’soirées coquines’’ ! Je découvrais, qu’au-delà du jeu coquin d’une soirée je prenais plaisir à être contrainte par ces talons hauts et les difficultés qu’ils me procuraient. Un autre accessoire devait aussi un jour apparaitre dans ma garde robe, mais c’est une autre histoire…

 

Plus pervers encore lors de nos soirées était ces ‘’soins ‘’qu’il pouvait me prodiguer. Jouant avec autorité et douceur son rôle de docteur, il effectuait sur mes chevilles des   massages appuyés. Il pouvait alterner des caresses les plus intimes entre mes cuisses ou sur mes jambes étendues avec des gestes forts ou il massait puis tordait une de mes chevilles, au point que la douleur me faisait crier. Nous allions souvent très loin dans ce petit jeu SM, je le défiais en résistant, me mordant les lèvres ou mordant un mouchoir pour qu’il s’arrête. Après cela il me remettait un escarpin et m’ordonnait de me lever. Je devais de nouveau marcher et m’appuyer sur ma cheville endolorie. Il m’autorisait mes béquilles, puis il m’en confisquait une, ou les deux, m’encourageant par des mots ou des caresses les plus délicieuses. Ces exercices douloureux  se terminaient au lit ou le sexe reprenait sa place de façon plus convenue, le sommeil venait très vite, nos corps et notre esprit  épuisés mais comblés.

 Le lendemain le réveil et les premiers pas étaient souvent difficiles. Je ne mettais que de petites mules pas trop hautes mais de nouveau mes béquilles m’aidaient dans la maison. Sans en redemander je ne m’y opposais pas tellement un trouble profond me faisait chaud au ventre. Durant ces journées il était particulièrement attentionné et bienveillant, s’occupant du repas ou toujours prêt à m’apporter ce dont j’avais besoin ou envie.  Douleur et plaisir ne constituait qu’un et il fallait admettre que nous étions dans un jeu de soumission domination quelque peu teinté de SM.

A ce petit jeu, et porter constamment des talons hauts pour sortir, ce qui devait arriver, arriva. Je portais ce jour là des escarpins beiges, pas forcement très hauts, à peine 10,  mais un peu trop fin pour marcher en ville, ma cheville droite était surement affaiblie par notre petit jeu, et au hasard d’un trottoir je m’étais sérieusement foulée la cheville. Pas une petite foulure mais sans aucun doute une belle entorse.  J’étais seule et la douleur fut terrible. Appuyée au mur je reprenais doucement mes esprits, les larmes coulant sur mes joues. Je du retirer mon escarpin mais le moindre appui sur mon pied m’aurait fait crier. Heureusement ma voiture n’était pas trop loin et je la rejoignais avec une grande difficulté. Je m’écroulais sur le siège et téléphonais immédiatement. Chris vint me chercher et m’emmena immédiatement voir le médecin. Il diagnostiqua en effet, une belle entorse mais ne jugea pas  bon de m’envoyer à la clinique pour des radios ou un plâtre. Il m’avait juste prescrit de la pommade, du repos, et des séances de kiné pour dans 10 ou 15 jours ‘’lorsque que ça irait mieux’’. Il m’avait également dit :

-‘’Je vous fais une ordonnance pour des béquilles, ça vous soulagera quelques jours, évitez de trop poser votre pied, et surtout arrêtez de porter des talons !! …’’

Dès que nous fumes sorti de chez le médecin, Chris m’emmenait dans la plus grande boutique de matériel orthopédique pour choisir une nouvelle paire  de belles béquilles. J’en essayais plusieurs paires et en prenait une paire toute métallique, plus lourdes et surtout plutôt adapté au handicap lourd et pour une utilisation permanente … La petite vendeuse n’y trouva rien a redire compte tenu du prix nettement plus élevé.

De retour à la maison, Chris me fit étendre sur le canapé pour me soigner. Moment agréable car ma cheville me faisait mal et ses massages transformaient une douleur subie en une douce douleur sous le contrôle des doigts de mon masseur. Une flute de champagne à la main je me détendais enfin, décidément j’étais dans mon élément. Il se mis à me faire un bandage, mais s’assura que mon pied serait maintenu cambré. Il glissa dans le bandage une petite plaque d’aluminium m’empêcha de relever le pied.

Il me mit à disposition une mule et un escarpin 10 cm pour mon pied valide. C’est avec grand plaisir que j’utilisais l’un ou l’autre au gré de mes envies, une fois la mule plutôt instable ou l’escarpin plus haut mais plus facile. J’en avais profité pour faire durer une convalescence  durant 6 semaines, en marchant systématiquement avec mes béquilles. Au bout de 10 jours j’eu droit de retirer le bandage, mon pied restait douloureux et l’articulation un peu sclérosée par l’immobilisation en position cambrée. Je me contentais d’un petit bandage fin, et je recommençais a chausser mes deux escarpins ou bottines à lacets. Mais notre jeu SM continuait, quelques fois, il me disait vouloir me masser, mettre de la pommade  et refaire le bandage mais je savais qu’il allait de ses mains retordre mon pied et distendre de nouveau douloureusement les ligaments abimés. Il avait tout de suite vu comment je m’étais tordu ma cheville et il reproduisait lentement la même torsion.  L’exercice était douloureux mais le plaisir montait en moi il ne disait pas quand il allait masser plus fort et j’attendais le moment avec terreur !  .Il allait parfois plus loin d’un coup sec  et me provoquait des cris étouffés. Mon pied se retrouvait de nouveau rougi et surtout le moindre mouvement ensuite me rappelait a l’ordre. Ce petit jeu m’obligea à garder les béquilles et j’adorais cela. Je n’hésitais plus à sortir ainsi, en talons mais avec mes béquilles. Nos amis et relation me connaissaient comme étant une femme très élégante, très féminine et ‘’toujours en talons ‘’ ! Beaucoup ne m’avaient jamais vu marcher a plat. Les talons faisaient parti de mon personnage, a tel point que pour me rendre a une soirée chez des amis, je mis mes escarpins de 10 cm tout en utilisant mes béquilles, sans que personne n’en fut surpris. On me demanda bien sur ce qui s’était passé, je racontais mon petit accident et le fait que j’avais encore un peu mal à marcher sans béquille. Une femme évoquant les talons et je répondais :

-        ‘’Mes talons ?  Je ne peux pas m’en passer, il y a bien longtemps que je ne marche plus à plat, c’est une question d’habitude, de plaisir, et mon homme adore ça ‘’ !

 et la discussion se terminaient dans un éclat de rire.

Voulez vous lire la suite ??? 


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Iam French , but you have translate after that, 

We'd spent the evening playing out this delicious scenario where I'd find myself walking on crutches, my feet shod in high-heeled pumps, playing the handicapped woman. It was a very special, perverse scenario, but one that had become natural in our relationship. Strange, you might say. Yes, it was!  He made us particularly horny and during these evenings I ended up really feeling a form of disability that excited me a lot. I was his disabled patient, he was my doctor, he treated me, looked after me and caressed my whole body, all the while forcing me into extreme heels that meant I had to use canes just to stand up and get around. It's been a long road to get to this point ...

 

But let's start at the beginning.

 

I've loved wearing heels since I was 15. At the very beginning, like many young girls, I used to sneak my feet into my mother's pumps. She noticed, but rather than scolding me or forbidding me to do it, she encouraged me to do it herself, first at home by teaching me to walk in her heels and then in mine. Buying my first pumps was an event for me. One Wednesday afternoon, while we were strolling through a shopping mall, I came across a pair of black leather pumps in the San Marina window, very classic, very low-cut, timeless, with thin 10 cm heels. I looked at my mother and pleaded with her.

-‘’ I must have them, they're beautiful, I love them!

 Understanding my desire, we went into the shop. It was the first time I'd ever bought a real pair of women's pumps, a real pair of heels of my own. I was so proud to show the sales assistant the shoes I wanted to try on! Then it was time to put them on in front of the customers, even though I was only 16. I slipped my feet into them with delight. The arch was serious but perfect, the leather was quite low cut and once I'd slipped them on, I could still see the base of my little toes - for me, it was the best! I savoured the moment and made it last, looking down at my feet before getting up. My numerous training sessions at home came in very handy that day, and it was with a certain confidence that I took my first steps on the shop's carpet, my feet arched up in these pumps, my gait and my small size 37 were magnificent. The sales assistant even congratulated me on my ease of walking!  After this memorable episode, I started to go out in heels and enjoyed switching from fashionable knickers to high-heeled pumps. I completed my collection with strappy sandals for summer and a pair of ankle boots for winter, plus other pairs of pumps. Few of my girlfriends wore heels, but many of them envied me without actually wearing them, and I had a good image at school! I was too young to look for an explanation and just felt things as they came. When I put on my tight jeans, falling straight down over my pumps, a strange pleasure filled me, like a strange mixture of contradictory feelings. In my heels, I felt more womanly, stronger, and at the same time more fragile, more feminine, and so I transformed the constraint of high heels into a gentle feeling of warmth and inner pleasure.

 

When I met my current partner, I'd been walking every day for 10 years in 8 to 10 cm heels. He told me from the very first day that he really liked this outfit, my shoes and my walk. But he soon made it clear that he would appreciate much higher heels. His speech was clear and very confident. His natural authority and charisma left little room for discussion, and I found myself loving it! 

-I like to see you in heels, you're very elegant, I like that very much, you know that, but what I want is for you to wear higher heels, even higher.

-It's not easy, I'm not going to be able to wear such high heels every day, but I'm willing to try for you.

 

I left my 8 cm in the cupboard and started wearing 10 cm every day. Those two little centimetres are not neutral, and those who wear heels know it well! When it came to buying pumps or boots with heels over 10 cm, we couldn't find what we were looking for in town, where the choice was quickly limited, so my friend took me to specialist websites. Researching on the computer was very exciting for us. Settled on the sofa or in bed, with the laptop on our knees, we took advantage of these moments to excite each other. Our bodies as close as possible, glued together, hand wandering under the sheets, I often found her sex hard and warm while my other hand gently caressed my clitoris. We had fun trying to remain unmoved, but the photos and descriptions of the models were often impressive and exciting: The models' ankles were magnificent, arched to the maximum, the shoes perfectly highlighted. For the highest shoes reserved for our naughty games, the descriptions and heel heights indicated 12, 13, 14 cm and my heart was beating fast as I looked at the screen when I placed my order, I was dreading the day of delivery with delight! The parcel arrived quickly at the house, and the fittings were always great moments of pleasure and perversion. It was of course he who put the shoes on me and then helped me to get up and walk. The pumps, ankle boots and mules that were delivered grew in height as my feet learned to arch. Heels became unreasonable and despite my will and efforts, crutches and other walking sticks appeared to help me stand. I was surprised to discover that I had trouble using these objects and medical devices, and they became essential accessories for our ‘naughty evenings’! I discovered that, beyond the naughty game of an evening, I took pleasure in being constrained by these high heels and the difficulties they caused me. Another accessory was also to appear in my wardrobe one day, but that's another story...

 

Even more perverse during our evenings were the ‘treatments’ he would give me. Playing his role of doctor with authority and gentleness, he would massage my ankles. He would alternate the most intimate caresses between my thighs or on my outstretched legs with strong gestures where he would massage and then twist one of my ankles, to the point where the pain would make me scream. We often went very far in this little S&M game, I would challenge him by resisting, biting my lips or biting a handkerchief to make him stop. Then he'd hand me a pair of pumps and order me to get up. I had to walk again and lean on my sore ankle. He would allow me my crutches, then confiscate one or both of them, encouraging me with the most delightful words or caresses. These painful exercises ended in bed, where sex took its place in a more conventional way, and sleep came very quickly, our bodies and minds exhausted but fulfilled.

 The next day, waking up and taking the first steps was often difficult. I only wore small mules, not too high, but once again my crutches helped me around the house. Without asking for more, I didn't object, so much so that a deep sense of unease warmed my stomach. During those days, he was particularly attentive and benevolent, taking care of the meal or always ready to bring me what I needed or wanted.  Pain and pleasure were one and the same, and I had to admit that we were playing a game of submission and domination with a touch of S&M about it.

Playing this little game, and constantly wearing high heels to go out, what had to happen, happened. That day I was wearing beige pumps, not necessarily very high, barely 10, but a bit too thin to walk in town, my right ankle was probably weakened by our little game, and by chance on a pavement I seriously sprained my ankle. It wasn't a small sprain, but it was definitely a good one.  I was alone and the pain was terrible. Leaning against the wall, I slowly came to my senses, tears streaming down my cheeks. I had to take off my pumps but the slightest pressure on my foot would have made me scream. Luckily my car wasn't too far away and I reached it with great difficulty. I collapsed on the seat and phoned immediately. Chris picked me up and took me straight to the doctor. He did indeed diagnose a sprain, but didn't see fit to send me to the clinic for X-rays or a cast. He just prescribed some ointment, rest and physiotherapy sessions for 10 or 15 days' time “when it feels better”. He also said:

-I'm going to write you a prescription for crutches, which will relieve you for a few days, so don't put your foot down too much, and above all stop wearing heels! ...‘’

As soon as we were out of the doctor's, Chris took me to the biggest orthopaedic shop to choose a new pair of nice crutches. I tried on several pairs and picked up an all-metal pair, which were heavier and, above all, more suitable for heavy handicaps and permanent use... The little shop assistant had nothing to say about them, given the much higher price.

Back at home, Chris had me lie down on the sofa to take care of myself. It was a pleasant moment, as my ankle was aching and his massages transformed the pain I'd experienced into a gentle ache under the control of my masseur's fingers. With a flute of champagne in my hand I was finally able to relax, I was definitely in my element. He began to bandage my foot, but made sure it was kept arched. He slipped a small aluminium plate into the bandage, preventing me from lifting my foot.

He provided me with a mule and a 10 cm pump for my able-bodied foot. It was with great pleasure that I used one or the other according to my desires, once the rather unstable mule or the higher but easier pump. I took advantage of this to prolong my convalescence for 6 weeks, systematically walking with my crutches. After 10 days I had the right to remove the bandage, but my foot was still painful and the joint a little sclerotic from being immobilised in an arched position. I had to make do with a small, thin bandage, and went back to wearing my two pumps or lace-up boots. But our S&M game continued, sometimes he said he wanted to massage me, apply ointment and redo the bandage, but I knew that with his hands he was going to twist my foot and painfully distend the damaged ligaments again. He had seen straight away how I had twisted my ankle and he was slowly reproducing the same twist.  The exercise was painful, but I was getting a thrill out of it - he didn't say when he was going to massage harder, and I waited in terror for the moment! Sometimes he would go further with a sharp jerk, causing me to cry out. My foot would be reddened again and the slightest movement afterwards would call me to order. This little game forced me to keep my crutches on and I loved it. I no longer hesitated to go out like that, in heels but with my crutches. Our friends and relations knew me as a very elegant woman, very feminine and ‘always in heels’! Many of them had never seen me walk flat. Heels were part of my character, so much so that to go to a party with friends, I wore my 10 cm pumps while using my crutches, without anyone being surprised. They asked me what had happened, and I told them about my little accident and the fact that it was still a bit difficult for me to walk without crutches. A woman mentioned my heels and I replied:

- My heels?  I can't do without them, I stopped walking flat a long time ago, it's a question of habit, of pleasure, and my man loves it‘’!

 and the discussion ended in a burst of laughter.

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